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Rencontre avec les talents de Chartreuse | ||
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Le massif de Chartreuse est aussi ce qu’il est grâce à ses habitants : artisans, artistes, sportifs... Ils contribuent à rendre ce massif spécial et fascinant. Place à la rencontre avec ces personnages tant passionnés que passionnants ! Télécharger le dossier de presse Hiver 1718 de la Chartreuse | ||
Pour toute demande de rencontres/interviews, merci de contacter Pauline Scuotto : pauline@linkscom.fr ou +334 50 91 41 08. | ||
![]() Thierry Martenon, sculpteurEbéniste de formation, Thierry Martenon a grandi ici, au contact des arbres et forêts qui lui sont chers et que son travail magnifie aujourd’hui, par sa recherche autour des formes, de la matière, de la lumière... Installé au Désert d’Entremont dans l’ancienne grange de son oncle transformée en atelier et showroom, cet artiste crée des œuvres abstraites et contemporaines, une cinquantaine par an, à partir de bois de Chartreuse déniché dans les forêts environnantes. Des sculptures qui naissent dans l’inspiration du dessin, sont façonnées avec minutie et savoir-faire dans un étroit contact avec la matière première, et peuvent ensuite être exposées jusqu’à Paris, en Suisse ou à New-York... | ||
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![]() Le peintre ArcabasC’est en 1951, à 25 ans qu’Arcabas, tout jeune diplômé de l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris et récemment nommé professeur à l’école des arts décoratifs de Grenoble, découvre la Chartreuse. Une rencontre décisive et féconde car c’est ici, au cœur du massif, qu’il va élaborer dans la modeste église de Saint-Hugues-de-Chartreuse, revenant par trois fois entre 1952 et 1992, ce qu’il considère comme l’œuvre de sa vie. Cette œuvre ardemment voulue, pensée et réalisée en solitaire par l’artiste, compte aujourd’hui comme l’un des joyaux de la Chartreuse à laquelle elle est désormais intimement et éternellement liée... S’il est aujourd’hui connu pour ses œuvres d’art sacré, Arcabas a également peint tout au long de sa vie d’autres représentations, comme des animaux, des paysages... Depuis décembre 2017, le musée d’art sacré contemporain, qu’est devenu depuis l’église de St-Hugues-de-Chartreuse, expose pour la première fois quelques paysages que lui a inspiré la Chartreuse. | ||
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![]() Sandrine Chappaz, chocolatier-confiseurAprès une carrière de 23 ans dans l’industrie, Sandrine Chappaz a décidé de changer de cap... Chocolatier-confiseur à Saint-Laurent-du-Pont, depuis 5 ans maintenant, Sandrine affine ses recettes au gré de sa passion pour la nature et les trésors qu’elle offre, que ce soit des plantes, des fleurs, des fruits, du miel ou encore des champignons... Elle joue ainsi les alchimistes gourmands pour proposer une gamme très étendue de parfums et de saveurs aussi authentiques qu’originaux. Un savoir-faire salué par le Club des croqueurs de chocolat qui édite chaque année un guide rassemblant les meilleurs chocolatiers en France et à l'étranger : Sandrine a notamment reçu une tablette d'or et le coup de cœur du jury et l'Award de l'harmonie des saveurs ! La reconnaissance est au rendez-vous également dans plusieurs établissements étoilés, dont le Ritz à Paris, que Sandrine Chappaz fournit en chocolats. | ||
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![]() Christian Alary, la Fabrique du skiFort d’une expérience de 17 ans en production dans l’industrie du ski, c’est à Saint-Pierre de Chartreuse que Christian Alary installe en 2014 ses machines-outils qui lui permettent de fabriquer des skis « made in Chartreuse » autour d’une technique particulièrement innovante. Il produit en effet un ski avec un matériau en bambou d’un seul tenant. Du matériel qu’il peut ensuite instantanément tester sur le magnifique terrain de jeu que lui offre le massif. En trois ans, la petite entreprise a su s'imposer sur le marché grâce à des skis de caractère, que racontent le nom des modèles, tel « Où tu veux quand tu veux » ou « Cœur de glace », dont la technologie est brevetée, et grâce à un service personnalisé. Cerise sur le gâteau, après avoir remporté l’or aux derniers X Games en half pipe, la Fabrique peut encore rêver d’une médaille à PyeongChang cet hiver, grâce aux prouesses de Marie Martinod... | ||
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